SV57 a écrit:
Merci pour ce jeu dans la lignée de spartacus imperator que j'ai particulièrement apprécié et qui m'a permis de faire découvrir le wargame à quelques non joueurs.
Merci !
SV57 a écrit:
- l'entrée dans une cité amie (ou ennemie vide d'UC) compte-t-elle comme un mouvement? Ainsi, peut-on aller d'Apulie au Salento, puis à Tarente (l'inverse est vrai: on peut sortir de Tarente pour aller directement en Apulie).
Oui
SV57 a écrit:
- avec la flotte, peut-on embarquer des UC à Carthage et les débarquer dans la même zone de mer, à Agrigente par exemple, en une action?
- même question mais avec un débarquement dans une zone de mer adjacente, à Paestum?
- la flotte peut-elle sortir d'un port, bouger dans une zone de mer adjacente et établir un blocus (la flotte part de Carthage et établit un blocus à Paestum)?
je relis , jai un doute
SV57 a écrit:
- une flotte bouge d'une zone de mer et finit avec une flotte ennemie, peut-elle l'attaquer directement (comme en combat terrestre) ou doit-elle faire un jet d'interception (dans le cas où la flotte ennemie inactive ne souhaiterait pas intercepter ou rate son jet)?
Elle fait un jet d'interception, si la flotte ennemie ne souhaite pas le combat
SV57 a écrit:
- les 2 consuls romains doivent s'activer à la suite, est-ce directement à la suite l'un de l'autre ou doit-on respecter l’activation alternée et jouer un chef oriental entre les 2?
directement à la suite
SV57 a écrit:
J'ai été surpris du manque d'activation des chefs. A spartacus, un chef avait 11 points d'action dans un tour d'une année. Ici, sauf mauvaise compréhension des règles, chaque chef ne dispose que d'un, voire exceptionnellement 2, action(s) par saison... soit 2 actions par an pour la plupart des chefs. Comme les UC ne bougent qu'une fois par saison, on ne peut pas continuer les opérations (par ex: j'active ma flotte à Carthage pour embarquer des UC qui seront débarquées à Agrigente dans la même action, puis qui seront ensuite activées par le chef punique qui les accompagnait).
Certes, ce manque d'activation peut être tempéré par le fait que des revenus sont principalement reçus en dehors de l'activation (les ravages sont moins nécessaires pour obtenir du butin), le recrutement également, qu'il y un mouvement gratuit de retour au bercail et une réorganisation générale des chefs et des troupes à la fin de la saison froide... mais ça m'étonne quand même et je crains de ne pas retrouver la dynamique de spartacus.
Dans Spartacus, les esclaves tentent de fuir l'Italie et passent leur temps à piller et à ravager pour recruter, se renforcer et survivre. Se faufiler dans un pays étroit où une île est difficile mais on peut quand même jouer au chat et à la souris pendant un certains temps

C'est une guerre asymétrique avec des dérobades
Dans Pyrrhus, l'échelle et la stratégie sont différentes.
Il y a 3 lieu d'opérations : Italie, Sicile et Afrique avec des zones de transition (la Mer). Les armées se valent plus ou moins (dans l'ordre de puissance : Pyrrhus, Rome, Carthage, Grecs), et les revenus sont plus stables, c'est une guerre plus classique entres Etats avec un chien fou au milieu.
Il y a peu de mouvements car en fait, les joueurs vont surtout choisir leurs batailles, leurs sièges, ils veulent l'affrontement. C'est un conflit où tous les participants recherchent la bataille rangée. Seul les carthaginois se retirent et se fortifient mais ils lancent tout de même deux batailles rangées qu'ils perdent et une bataille navale qu'ils gagnent.
La finesse des déplacements et des concentrations de troupes se joue sur quelques actions, le mouvement d'hiver et le recrutement sont très importants. Ils n'existaient pas dans Spartacus.
Il faut choisir la bonne bataille et surtout anticiper l'hiver. La marche forcée permet de jouer plus vite (à la Pyrrhus) et de prendre des risques.
C'est des sensations stratégiques et opérationnelles différentes, pour les batailles, c'est le même frisson.