regulo a écrit:
Je vous propose cette réflexion sur le jeux d'histoire au niveau stratégique ou opérationnel : Je ressens que la simulation y est très encadrée voire contrainte dans la mesure où on refuse plus ou moins ouvertement un dérouler de partie assez différents de celui historique (voir l'inoxydable la France tombe en 40) à cet égard je me demande s'il ne faudrait pas aussi se tourner vers des idées de la psychopathologie pour le décrire :
Ainsi le traumatisé qui répète ou rejoue en boucle son trauma (la conscience essayant a posteriori d'anticiper l'événement qui l'a surprise) ou le versant maniaque du fantasme sexuel qui impose un cérémonial immuable pour faire grimper le sujet au rideau.
Que nenni je joue et rejoue autant pour le plaisir de reproduire un conflit ou une bataille historique et déplacer ainsi que revoir une armée type de l'époque en jeu dans le wargame que je joue.
Ensuite j'apprends énormément d'un wargame, pr les règles, les situations qu'il décrit par les livres et articles connexes que je lis et par les parties de jeu.
Si le jeu est bien fait il ne fait que reproduire bêtement un cérémonial en fait il rentre et permet de voir d'explorer ou d'interdire différentes situation stratégiques de les lier entre elles ou de les mettre en opposition . Voir d'en interdire une au profit d'une autre, au fond l'acharnement sur Stalingrad n'a t-il pas oblitérer toutes chances de l'emporter dans le Caucase.
Ou quid de l'affaire de Moscou dans l'état de la heer et de la relation de ah avec "ses" généraux?