TOUR 5 12h

Les batteries françaises tirent leurs boulets sur l'infanterie britannique et sur la cavalerie espagnole en 32 les faisant reculer, seule la brigade Houghton 2/3 reste en ligne (sur l'approach).

L'attente interminable prend soudainement fin…Godinot lance sa brigade sur les espagnols qui tiennent la ligne la plus à l'est.
Ces derniers font feu, mais trop tôt !
les bataillons du 12e léger s'approchent en colonne , baïonnettes dressées, puis s'arrêtent à 30 pas pour déclencher leurs feux.

Un échange de mousqueterie s'ensuit où les légers ont le dessus, les espagnols, malgré le fait d'être en ligne cèdent face à la pression et reculent.


d'autres unités de moindre valeur les remplacent, le 12e léger a des pertes mais continue d'user la ligne ibérique avec son feu.
Les espagnols reculent et une 3e ligne les remplace.

Le 12e léger les repousse aussi, les unités espagnoles partent en déroute (et sortent du jeu car ils ont atteint chacun 0, ils ne peuvent donc pas être ralliés, c'est le sort des troupes de qualité médiocre).

à gauche, la 1/2e bde française du Ve corps attaque en colonne la brigade Houghton.

Celle ci la laisse approcher avec un calme inquiétant, puis les Brown Bess se lèvent et délivre un feu d'enfer presque à bout portant, 20 à 30 yards,
puis chargent à la baïonnette en poussant un Uzaah.
Les français, décontenancés ont des pertes et se refluent en désordre, mais la 1/1ere brigade prend est juste derrière et attaque à son tour.


Le scénario précédent se remet en place, les britanniques attendent que les colonnes soient presque sur eux pour déclencher des volées à très courte distance qui foudroie les premiers rangs français, une rapide charge les force à se replier.

Stewart exulte, il pense avoir stoppé l'attaque française, mais sur sa droite, (en 27) les dragons légers de Head sont chargés par les chasseurs à cheval de Briche, qui les dispersent, la cavalerie anglaise déroute…
Les cavaliers français ont un point de disruption mais c'est le cas à la fin d'un combat pour la cavalerie, même victorieuse , cela simule l'épuisement momentané des chevaux.
Derrière eux, les lanciers de la Vistule attendent leur heure…

la douce colline au centre de la ligne alliée est tenue fermement par ces derniers, mais les deux flancs sont percés par l'nfanterie FR à l'est et la cavalerie à l'ouest.