FAIII - Première partie
Posté : sam. 23 juil. 2016 16:38
Voici mon retour après cette première partie qui s'est fini sur un abandon des Centraux : l'Allemagne ne pouvait plus faire face à ses problèmes de moral.
Bref résumé de la partie
Les plans alliés sont assez classiques : fines lignes face à l'Allemagne à l'est comme à l'ouest, des Serbes prêt à reculer. Côté Centraux, on part sur un "Russia first", un faible groupe est disposé à l'ouest, de quoi occuper le terrain et éventuellement menacer Nancy. A l'est, l'Autrichien défend les Carpates pour ne pas prendre de baffes inutiles et se masse en Serbie.
Comme prévu les Serbes partent se réfugier dans leur montagne, les Français contre-attaquent sans succès et les Russes collent aux Allemands. Après quelques combats la situation se stabilisent pour l'année à mi-distance entre la frontière allemande et la Vistule.
Pas grand-chose à signaler, si ce n'est l'entrée en guerre des Britanniques en N/D 14. Côté centrales les Bulgares arrivent assez vite dans la danse et permettent de libérer le rail entre Berlin et Istanbul.
L'Italie entre à son tour en M/J 15 mais face à une ligne très solide austro-germaine ne peut absolument rien faire. L'été 15 voit les Alliés déclarer la guerre à la Belgique puis un peu plus tard aux Pays-Bas afin d'agrandir le front. Varsovie est finalement occupée par les Centraux, Lemberg et la dernière ressource autrichienne sont libérées.
Avec la montée politique de la Roumanie, les Autrichiens organisent une belle force de frappe et déclarent la guerre mais échouent sur Bucarest malgré des "odds" favorables. Mêmes échecs pour deux attaques menées par les Allemands sur Venise. Côté alliés, les Français s'échinent sur Metz, fortifiée, sans succès.
Côté Proche-Orient, les Anglais ont réunis toute la cavalerie de l'Empire et déclare la guerre aux Ottomans qui organisent une belle retraite qui se termine sur les premières montagnes de Turquie, derrière l'Euphrate, le front se stabilisera sur cette zone jusqu'à la fin.
L'été 17 voient l'entrée en guerre des US, et des offensives majeures des alliés à l'ouest et à l'est également. Pas très efficaces, elles permettent de paralyser l'Allemand. Le Turc est bloqué et l'Autrichien malgré une excellente situation est limité dans ses forces.
Avec la montée en puissance des US et l'arrivée des nouveaux matériels, l'été 18 sera chaud. La reconstruction de l'Allemagne est remise en cause par un tour de grand beau temps en hiver.
Finalement la puissance de frappe des Alliés casse l'Allemand. Le moral chute, en S/O les troupes allemandes se seraient rendues sur 3. Je jette donc l'éponge.
Bilan : pas de révolution en Russie, le Tsar règne en maître. L'Empire ottoman se recentre sur la Turquie. L'empire autrichien est sauf.
Quelques remarques dans le désordre
Entrée US :
- une seule déclaration de guerre des Centraux et un seul mineur aligné
- pas de gaz, pas de bombardement stratégique, pas de guerre sous-marine à outrance
- des Alliés qui saisissent plusieurs fois le commerce
- des Alliés qui déclarent la guerre à la Belgique !?, aux Pays-bas ?!, à l'Empire Ottoman
Bilan entrée historique : 6 avril 1917, entrée dans le jeu 1° impulse J/A 17. Et encore il y a eu deux tentatives en M/J à 30 et 40%. Curieux...
Les unités :
Il y a pire dans certains jeux mais serait-il possible que l'armée française ressemble à quelque chose ?! Rien n'est prévu pour la suite pour certains pays : rien pour le Russe à partir de 17 par exemple. Le jeu présente 30 pions chinois inutiles...
La production :
Les Russes produisent trop, en 17 on devait être autour de 20 pour 25 pour l'Allemagne. Il vaudrait mieux baisser le coup des unités ou donner des unités, et baisser cette production qui en plus est inatteignable ou presque.
Le moral :
L'absence d'attaque est beaucoup trop pénalisante pour les petits pays et peu sensible pour les gros. Les partisans sont à priori buggés en Afrique, à moins de mettre un pion par case. Si le partisan s'installe, il est assez aisé et peu cher de le multiplier et d'arriver à faire des stacks indélogeables de partisans. On a "house-rulé" à 1 la perte par partisan dans une colonie africaine. De la même manière, la pénalité pour perdre des colonies est énorme : en perdant l'Afrique, qui est indéfendable ou presque, l'Allemand perd 3 points de moral par tour.
(à suivre)
Bref résumé de la partie
Les plans alliés sont assez classiques : fines lignes face à l'Allemagne à l'est comme à l'ouest, des Serbes prêt à reculer. Côté Centraux, on part sur un "Russia first", un faible groupe est disposé à l'ouest, de quoi occuper le terrain et éventuellement menacer Nancy. A l'est, l'Autrichien défend les Carpates pour ne pas prendre de baffes inutiles et se masse en Serbie.
Comme prévu les Serbes partent se réfugier dans leur montagne, les Français contre-attaquent sans succès et les Russes collent aux Allemands. Après quelques combats la situation se stabilisent pour l'année à mi-distance entre la frontière allemande et la Vistule.
Pas grand-chose à signaler, si ce n'est l'entrée en guerre des Britanniques en N/D 14. Côté centrales les Bulgares arrivent assez vite dans la danse et permettent de libérer le rail entre Berlin et Istanbul.
L'Italie entre à son tour en M/J 15 mais face à une ligne très solide austro-germaine ne peut absolument rien faire. L'été 15 voit les Alliés déclarer la guerre à la Belgique puis un peu plus tard aux Pays-Bas afin d'agrandir le front. Varsovie est finalement occupée par les Centraux, Lemberg et la dernière ressource autrichienne sont libérées.
Avec la montée politique de la Roumanie, les Autrichiens organisent une belle force de frappe et déclarent la guerre mais échouent sur Bucarest malgré des "odds" favorables. Mêmes échecs pour deux attaques menées par les Allemands sur Venise. Côté alliés, les Français s'échinent sur Metz, fortifiée, sans succès.
Côté Proche-Orient, les Anglais ont réunis toute la cavalerie de l'Empire et déclare la guerre aux Ottomans qui organisent une belle retraite qui se termine sur les premières montagnes de Turquie, derrière l'Euphrate, le front se stabilisera sur cette zone jusqu'à la fin.
L'été 17 voient l'entrée en guerre des US, et des offensives majeures des alliés à l'ouest et à l'est également. Pas très efficaces, elles permettent de paralyser l'Allemand. Le Turc est bloqué et l'Autrichien malgré une excellente situation est limité dans ses forces.
Avec la montée en puissance des US et l'arrivée des nouveaux matériels, l'été 18 sera chaud. La reconstruction de l'Allemagne est remise en cause par un tour de grand beau temps en hiver.
Finalement la puissance de frappe des Alliés casse l'Allemand. Le moral chute, en S/O les troupes allemandes se seraient rendues sur 3. Je jette donc l'éponge.
Bilan : pas de révolution en Russie, le Tsar règne en maître. L'Empire ottoman se recentre sur la Turquie. L'empire autrichien est sauf.
Quelques remarques dans le désordre
Entrée US :
- une seule déclaration de guerre des Centraux et un seul mineur aligné
- pas de gaz, pas de bombardement stratégique, pas de guerre sous-marine à outrance
- des Alliés qui saisissent plusieurs fois le commerce
- des Alliés qui déclarent la guerre à la Belgique !?, aux Pays-bas ?!, à l'Empire Ottoman
Bilan entrée historique : 6 avril 1917, entrée dans le jeu 1° impulse J/A 17. Et encore il y a eu deux tentatives en M/J à 30 et 40%. Curieux...
Les unités :
Il y a pire dans certains jeux mais serait-il possible que l'armée française ressemble à quelque chose ?! Rien n'est prévu pour la suite pour certains pays : rien pour le Russe à partir de 17 par exemple. Le jeu présente 30 pions chinois inutiles...
La production :
Les Russes produisent trop, en 17 on devait être autour de 20 pour 25 pour l'Allemagne. Il vaudrait mieux baisser le coup des unités ou donner des unités, et baisser cette production qui en plus est inatteignable ou presque.
Le moral :
L'absence d'attaque est beaucoup trop pénalisante pour les petits pays et peu sensible pour les gros. Les partisans sont à priori buggés en Afrique, à moins de mettre un pion par case. Si le partisan s'installe, il est assez aisé et peu cher de le multiplier et d'arriver à faire des stacks indélogeables de partisans. On a "house-rulé" à 1 la perte par partisan dans une colonie africaine. De la même manière, la pénalité pour perdre des colonies est énorme : en perdant l'Afrique, qui est indéfendable ou presque, l'Allemand perd 3 points de moral par tour.
(à suivre)